Quel paradoxe que celui dans lequel nous plonge la fête des Rameaux :
l’évocation de l’entrée festive de Jésus à Jérusalem et le récit de la Passion.
D’un côté, Jésus descend le mont des Oliviers sous les acclamations de la foule :
« Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur »
De l’autre côté, Jésus sort de la ville sainte, sous les moqueries de ses adversaires,
en direction du calvaire, ou il sera élevé sur la Croix.
Parfois, on est comme la foule.
Quand tout va bien, nous acclamons Jésus…
Quand tout va mal, nous l’accusons…